Et oui Cedfred, il me semble bien que nous avons exactement le même combo. Je pense que c'est une 2001 en production, châssis proche des 3700. Dès que j'ai mon immat, je serai preneur de ton avis sur les trucs à faire...
Félicitations, une bien jolie histoire, et on en est vraiment friand ici.
Heureux que cela finisse si bien, et ce serait avec plaisir que je partagerai une bière à l'occasion.
J'aime beaucoup l'intérieur de la 320, elle ne fait pas son âge, et je comprends votre hésitation.
“What this button does is it turns carbon dioxide into noise.” J Clarkson
Merak - Biturbo SI - Shamal - Ghibli Cup 2800 - 3200GT AC - MC Victory
Là, je dis "respect" !
Quand je pense que les voitures d'occasion vendue en Italie ont mauvaise réputation...
Tu as fais le retour avec des targhe di cartone ? On dirait que tu as laissé les plaques de l'ancien propriétaire.
Le moteur des uns fait le malheur des autres. ex Quattroporte 5 ZF
ex 3200 auto.
Raaah cela me rappelle mon road trip outre-Manche pour aller chercher un coupe Z3M jaune en 2010 (origine Japon mais LHD), j'avais également réglé l'auto par virement avant ma venue, je n'en menais pas large ...
Toutes mes félicitations pour cet achat et un grand merci pour ce compte-rendu croustillant de détails
Sympa le récit de ton achat avec road-trip en Italie, Dom3200
Visiblement tu es tombé sur un passionné soigneux avec ses voitures, quel plaisir d'acheter sa Maserati dans ces conditions.
Tu as pris un risque avec le paiement, mais sans doute que tu avais un bon feeling avec le vendeur.
Tu parles italien ?
Merci encore pour vos commentaires ! Pour répondre aux questions, oui je suis bien remonté en plaques Italiennes. J’ai communiqué essentiellement en Anglais avec le vendeur, puis un peu en Italo-Français… Je ne parle pas vraiment Italien. Après quelques jours de vacances dont un passage au zoo de Beauval (exceptionnel)
Voici le dernier Chapitre : Le retour
7 Avril 15h30. 100 euros d’essence sont intégrés dans la Masette. Tiens, on aurait pu en mettre encore. C’est bien la première fois que çà m’arrive !
C’est parti ! Direction Brindisi, puis Bari. Un manque de préparation évident sur le roadbook, et découragés par l’ergonomie du GPS du poste Becker, nous appelons à l’aide en France pour un téléguidage sur les routes à suivre. Et oui, Milan n’est pas vraiment indiqué depuis le fin fond du sud de l’Italie.
18h00. 1er arrêt après 300km parcourus. Bonne nouvelle et bonne surprises : la consommation est très raisonnable, je dirais environ 11L/100km. Il faut dire que nous ménageons la bête.
Nous reprenons la route. 70km plus tard, une erreur majeure du co-pilote (en l’occurrence moi), nous fait rater le bon échangeur pour changer d’autoroute à Foggia. Nous voilà donc dans un élément pour lequel la 3200 n’a pas été conçue : la ville et ses embouteillages.
Sans carte, le co-pilotage se complique :
- C’est à droite, non à gauche ! Remets-toi dans la file, ils vont bien te laisser passer… Le tout devant la Police locale…
Finalement c’était à droite…
On retrouve l’autoroute A14.
Vers 1h du matin. Nous arrivons sur Bologne, mais sommes tous les 2 cramés. Par chance nous trouvons un petit hôtel juste en bordure d’autoroute.
8 Avril, 6h30, la 3200 est toujours sur le parking. C’est reparti !
Gros regret de ne pas avoir pris cette sortie pour immortaliser la 3200 devant l’usine, mais nous étions traumatisés par l’expérience de Foggia et San Severo.
A l’approche du déjeuner, voici enfin les panneaux que nous attendions depuis longtemps.
2 stress me gagnent tout à coup en grimpant les Alpes.
Premier stress vite apaisé.
Deuxième stress : à l’approche du Tunnel du Mont Blanc, une voiture de police Italienne nous double or il n’y a pas grand monde sur la route. Même si je suis absolument certain d’être 100% en règle vis à vis du droit européen, et donc du droit Italien, (j’y reviendrai dans mon sujet « acheter en Italie en 2016 ») et que j’ai suffisamment de documents à bord permettant de l’étayer, je ne peux m’empêcher de repenser à tous les articles sur les voitures mises en fourrière…
Finalement, arrivés à l’entrée du tunnel, je ralenti et un policier me fait signe de passer sans m’arrêter. Par les temps qui courent, je m’attendais au minimum à un contrôle des identités, Même pas. Détente au son du Becker que nous allumons pour la 1ere fois.
Pas d’immortalisation à Modena, mais immortalisation à la station BP d’Annemasse !
De plus près, l’auto est un peu marquée par les kilomètres…
Et voilà ! Détendus nous remontons tranquillement sur des routes mieux connues…
Epilogue :
Depuis mon retour, outre d’écrire ce petit roman, la 3200 est passée au CT. J’ai pu voir sur le pont que que les soufflets de direction sont à changer, mais toutes les rotules et bras semblent sans soucis. Quelques traces d’huile mais rien qui me semble anormal pour une voiture de 15 ans et 80 000 km. Je serai bien sûr preneur d’avis de connaisseurs lors d’une prochaine rencontre.
Je me suis également lancé dans une amélioration de l’intérieur. J’ai pour l’instant rénové l’intégralité des plastiques collants à l’alcool à 70°. Après 6h de boulot, 1,5 bidon d’alcool et une quantité impressionnante de cotons et cotons tiges, le résultat est impressionnant. Les boutons sont maintenant en plastique dur et brillant, mais comme neufs.
A bientôt dans un nouveau sujet Acheter (serein ?) en Italie en 2016 : orienté démarches et réglementation.
Dernière modification par Dom3200 le sam. 23 avr. 2016 14:46, modifié 1 fois.
Bravo et félicitations
Un récit digne d'une série à suspens.
Très courageux de ta part.
Comme quoi quand on veut on peut!!
À déplacer des montagnes pour nos
Dominique
3200GTA
Brake less and accelerate more. J.M Fangio
Voiture de Madame 4200 Spyder Fabia. Fiat Barchetta
Fascinant ! Merci pour ton récit, et félicitations pour "avoir osé" le virement de 95% avant d'avoir vu la voiture, c'est particulièrement "couillu" mais la chance sourit aux audacieux N'aie pas trop de regrets pour la photo souvenir Viale Ciro Menotti, Barth organise une séance de rattrapage cet automne