Re: Actualités de la marque
Publié : mer. 20 août 2025 14:00
Le chiffres du premier semestre confirment la tendance du premier trimestre, sans surprise, avec un chiffre d'affaires en chute libre et des pertes en hausse.
Entre janvier et juin, Maserati a enregistré des revenus nets de 369 millions d'euros, en baisse de 41,5 % par rapport à 2024, une baisse liée à l'effondrement des volumes, tombés à 4 200 unités contre 6 500 il y a un an.
L'effet combiné de la baisse des volumes et de la pression sur les marges a fait bondir la perte opérationnelle à 140 millions d'euros, soit près du double des 82 millions d'euros du S1 2024.
Par ailleurs, Stellantis a déprécié les plates-formes industrielles utilisées pour Maserati et Alfa Romeo à hauteur de 552 millions d'euros, l'impact étant entièrement comptabilisé dans la division Maserati.
Les prévisions faites dans le budget 2024, approuvé en février dernier, estimaient une « aggravation de la dette financière dans la première partie de 2025 », compensée toutefois par un « redressement de la rentabilité dans la seconde moitié de l'année grâce à une augmentation des volumes ». Mais force est de constater que la reprise des volumes n'existe pas et n'existera pas sans une stratégie de relance, qui prend son temps pour arriver.
On parle maintenant d'une présentation du plan industriel Stellantis par le PDG Antonio Filosa pour le début de 2026...
Entre-temps, Maserati continue de perdre de l'argent. Stellantis a déjà injecté 350 millions pour soutenir la filiale, et devra faire avant la fin de l'année un nouveau chèque de plusieurs centaines de millions supplémentaires pour garantir la pérennité de la marque.
Entre janvier et juin, Maserati a enregistré des revenus nets de 369 millions d'euros, en baisse de 41,5 % par rapport à 2024, une baisse liée à l'effondrement des volumes, tombés à 4 200 unités contre 6 500 il y a un an.
L'effet combiné de la baisse des volumes et de la pression sur les marges a fait bondir la perte opérationnelle à 140 millions d'euros, soit près du double des 82 millions d'euros du S1 2024.
Par ailleurs, Stellantis a déprécié les plates-formes industrielles utilisées pour Maserati et Alfa Romeo à hauteur de 552 millions d'euros, l'impact étant entièrement comptabilisé dans la division Maserati.
Les prévisions faites dans le budget 2024, approuvé en février dernier, estimaient une « aggravation de la dette financière dans la première partie de 2025 », compensée toutefois par un « redressement de la rentabilité dans la seconde moitié de l'année grâce à une augmentation des volumes ». Mais force est de constater que la reprise des volumes n'existe pas et n'existera pas sans une stratégie de relance, qui prend son temps pour arriver.
On parle maintenant d'une présentation du plan industriel Stellantis par le PDG Antonio Filosa pour le début de 2026...
Entre-temps, Maserati continue de perdre de l'argent. Stellantis a déjà injecté 350 millions pour soutenir la filiale, et devra faire avant la fin de l'année un nouveau chèque de plusieurs centaines de millions supplémentaires pour garantir la pérennité de la marque.