Maseratitude

Je ne savais pas qu’il y en avait eu une grise ? Donnée à vérifier.

Petit festival de coupés Zagato précoces :

la MC 20 decortiquée
https://www.youtube.com/watch?v=U3jmp8uWdGw

maseramo a écrit :Petit festival de coupés Zagato précoces :

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Aahhh, ces A6G_54...

maseramo a écrit :

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Je ne savais pas qu’il y en avait eu une grise ? Donnée à vérifier.

A priori hautement improbable...

http://www.pietro-frua.de/1971_maserati.htm

Fabuleux ce site

Merci Smart, il se peut que David Santamans ait peut-être confondu avec une Quattroporte II Bertone grise vendue en Espagne

Sur la page FB des amis du circuit de Gueux, une image d’une course en 63
Aston DP 214 en tete (à priori, qui a succédé à la DP 212 qui n’a pas les naca sur l’avant, et avant la 215 similaire), devant Lotus 23, GTO
(à priori Bianchi qui gagnera), puis une auto que j’ai prise par erreur pour une Cobra Daytona (qui n’est apparue qu’en 64), et (à priori) une Ferrari « shark nose » (cela peut être testa 2e série, ou 246 SP ou 248 SP)
Un des participants a posté des docs Sport Auto d’époque. Ils’avère que la pseudo Cobra est une « Maserati 4,9 ».
Un peu de recherche, c’est normalement une 151.
La photo du post: les extraits de l’article d’époque. Simon est donc le pilote de la Masette 4,9 qui à faussé son capot suite à un incident. Ca serait donc ce modèle... Lien vers page FB:
https://www.facebook.com/groups/324359411234

Alidooooo?????

C'était alors probablement la 151 de Simone (et non Simon)
Je note qu'à l'époque une Type E lightweight mettait la pâtée aux GTO

Merci PLM pour cette perle historique à Reims Gueux 1963.

En fait, c’est le pilote André Simon qui pilotait la 151/2 du colonel John Simone, importateur Maserati pour la France avec son associé Jean Thepenier. Cette voiture de Maserati France était rouge avec des bandes blanches et bleues. Elle était bien partie pour gagner au Mans en 1963 car elle menait largement pendant plusieurs heures (équipage André Simon - Lloyd Casner) avant que "Lucky Casner ne se goure dans l'ordre de rétrogradage à Mulsanne dans la soirée et ne casse la boite de vitesse.
Bien que voiture semi-privée de la concession Maserati France (Simone-Thepenier à Saint-Cloud), la 151/2 disposait de l'assistance Maserati usine. Ci-dessous Guerino Bertocchi (de dos penché vers l'habitacle) et Cletto Grandi (en bleu et casquette). Le colonel Simone est en beige avec casquette :
Après cette grosse déception au Mans 1963, je savais que cette auto avait couru à Charade dans l'été mais je ne savais pas qu'elle avait été engagée à Reims-Gueux.

Haha, Simon roulait pour Simone

Oui, c'est marrant, ça n'avait pas fait "tilt" dans ma tête jusque là

Cletto Grandi devant la 151/2 : Cette Tipo 151/2 est la version 1963 avec le V8 poussé à 4.9 litres et l'injection (ce qui explique le bosselage modéré du capot. Le modèle ci-dessous de Briggs Cunningham est la Tipo 151/1 version 1962 avec le V8 à 4 litres et les carburateurs au centre du V qui nécessitaient une grosse bosse sur le capot :
pour en savoir plus sur l'épopée des 4 modèles du colonel Simone 151/1, 151/2, 151/3 ou 152, 151/4 ou 154 :

http://www.maseratitude.com/viewtopic.php?f=36&t=7002

Ouahou, trop fort.....
« je l’aurai, un jour, je l’aurai... »

Salve Pierre, ah tu m’as appris que 151/2 avait couru à Reims, ce que je ne savais pas. Grazie amico !

Vous préférez le moteur V8 devant ou derrière ? Maserati offrait le choix :

Deux chef d’œuvres absolus par deux génies du design automobile.

Bora par Giorgetto Giugiaro pour sa société Ital Design :

Khamsin par Marcello Gandini pour Bertone :

Bora:
Khamsin :

maseramo a écrit :Deux chef d’œuvres absolus par deux génies du design automobile.

Bora par Giorgetto Giugiaro pour sa société Ital Design :

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Khamsin par Marcello Gandini pour Bertone :

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L'apothéose des GT de avec l'ingénieur Alfieri

Ciao Froggie, c’est vrai que ces deux Maserati, la Bora et la Khamsin, représentent un aboutissement, celle de la brève mais riche période Citroën (1968-1975), celle de la carrière Maserati de l’ingénieur Giulio Alfieri qui sera limogé par De Tomaso en 1975, celle de la veine esthétique des Maserati ultra modernes et profilées aux phares escamotables. Avec celles qui suivront, la Kyalami, la Quattroporte III, la Biturbo, nous entreront dans une « période cubique ». Et puis techniquement, la Khamsin est la première Maserati à roues arrière indépendantes, la Bora la première Maserati stradale à moteur central arrière. Des aboutissements techniques.

La période suivante :