Maseratitude

L’homme d’affaire italien Gianluca Rossignolo avait pour ambition de faire renaître la mythique marque De Tomaso. Après la peu convaincante Deauville dévoilée à Genève, l’aventure a tourné court : en difficultés financières et poursuivi par la justice italienne, Rossignolo n’a plus les reins assez solides pour nourrir les grandes ambitions de De Tomaso. Toutefois, la marque n’est pas morte. Le groupe chinois SAIC vien de racheter le droits concernant le nom de la marque et la production de la Deauville, pour un montant d’environ quinze millions d’euros. Affaire à suivre.

Quinze million d'euros, ce n'est vraiment pas grand chose...pour cette marque et ce qu'elle represente, et aussi pour un acheteur chinois...

Rosignolo c'est totalement trompé de stratégie de renaissance et de marque. Il aurait falu prendre les Mase, Feri et Lambo directement par les cornes. On peut se permettre de sortir un SUV une fois la marque et sa distinction établie, mais pas l'inverse. C'est une logique très basique.

Alors comment prendre les autres par les cornes? On sortant un vrai muscle-car (pourquoi? parce que De Tomaso été à l'origine un V8 Ford muscle car moteur si je ne me trompe pas), avec un design très masculin et viril, pour faire contre-poids à l'outrance des lignes effeminés tellement à la mode aujourd'hui.

Mercedes à réussi avec son SLS AMG en préservant les anciennes lignes de la marque- regardez et écoutéz son son ici: http://www.youtube.com/watch?v=NvLPnsUJN08. Imaginez maintenant une De Tomaso rassé, un design fort, musclé, qui fait un vrai statement devant tout le monde en contre-poid des super car aujourd'hui, et avec ce suberbe son de cette SLS...

My 2 cents comme on dit en anglais.

The-Uki

Quel triste destin...

Mieux vaut se faire racheter par des Rois du Pétrol que par des rouleurs de nems...

Oui mais ils preferent le foot aux fabriques d'autos meme prestigieuses