[Fevrier 2012] Actualités de la marque
Publié : sam. 11 févr. 2012 11:45
Et bien voilà, Maseratitude fête son 1er anniversaire. Un an déjà que nous avons décidé de créer cet espace dédié à la
passion des Maserati.
Je n'ai pas travaillé sur l'actualité de la marque ce mois-ci car il y a pas mal de changements dans ma vie ces temps-ci.
Aussi, je vous propose un petit texte à la Maseramo dont la finalité est ce qui nous rassemble ici.
Je ne pense que ce soit si hors-sujet car finalement la devise de la marque est Excellence thru Passion.
Et comme dans ce texte il n'est question que de passion, ...
Et puis, je crois aussi que les supports sur internet contribuent aussi un petit peu à l'actualité de la marque.
Bonne lecture !
../..
Nicolas est un petit garçon comme les autres. Il va à l'école, ce n'est pas un surdoué mais son père lui a dit un jour :
- "Nicolas, j'aimerais bien qu'un jour tu sois un Monsieur"
Cette phrase est resté gravée dans sa mémoire, et il fait de son mieux pour satisfaire l'ambition que son père a pour lui. Mais Nicolas a une passion, il aime les automobiles.
Ca a sans doute commencé très tôt avec les aller-retours à Orly de nuit dans l'estafette pour aller récupérer au plus vite les livraisons de 'vivant' qui arrivent par cargo de Singapour. Au petit matin, un petit déjeuner dans le café qui jouxte le commerce familial, et il est temps de rentrer les portes coulissantes ouvertes de l'estafette ajoutant encore un brin d'exotisme à ces expéditions nocturnes.
Les trajets vers la maison de campagne les week-end sont aussi l'occasion pour Nicolas de cultiver encore ce qu'est une automobile et son fonctionnement. Il dévore le guide de la route qui consacre des pages entières au fonctionnement d'une voiture. L'Ami8 familiale n'est guère confortable mais peu importe dans ses rêves il se voit en Mustang.
A 14 ans, il commence à acheter Auto-Loisirs un magazine qui sortait dans les années 80. Il découvre dans cette revue les textes délurés et délirants de Jean-Loup Nory qui côtoient les photos extravagantes du talentueux Dingo. On y parle surtout d'américaines avec de gros V8 bourrés de chevaux qui délivrent leur dose d'adrénaline aux essayeurs. Quel magnifique métier de pouvoir conduire autant de montures différentes... La chambre commence à se couvrir de posters, comme tous les ados le font encore. De la fenêtre de sa chambre il s'amuse à reconnaitre les moteurs de voiture à leur son : Les Simca avec leurs clic clic caractéristique, les Renault, les Peugeot plus veloutés au bruit, mais surtout le bruit si typique de la DS du voisin de derrière, il changera peu après la DS pour une CX Pallas flambant neuve.
Cette voiture le fait rêver, quelles arêtes, quelle finesse... La digne héritière de ce vaisseau étrange qu'est la DS.
Sa décision est prise, il travaillera dans l'automobile et si possible chez Citroën ! Dans la librairie du coin, Nicolas est souvent en train de regarder les annonces de voiture dans La Centrale. Il voudrait tant que son père revende sa R15, et achète une CX dont Grace Jones fait la pub à la TV voire même s'il faudra se plier en 4 pour monter à l'arrière qu'il passe au monstre la SM avec son moteur italien Maserati. Le père de Nicolas avoue aussi un penchant vers la CX mais l'hydraulique envahissante le convaincra de ne pas franchir le pas. Le petit commerce commence à prendre de l'ampleur, la vie devient plus agréable, l'emprunt de la maison est enfin fini et la R15 laisse enfin place à une voiture familiale. Et quelle voiture ! Une 604 V6 ti dans sa teinte typique un bronze léger avec sa sellerie cuir fauve. Comble du luxe, elle dispose d'un toit ouvrant ! Nicolas n'est pas insensible à la sensation de puissance et d'oppulence que dégage le haut de gamme de la firme de Sochaux. Combien, de fois il la sortira du garage le samedi matin, pour pouvoir la rentrer à nouveau après les courses du samedi après midi.
Le BEPC en poche, il est temps pour Nicolas de commencer à faire des choix pour le futur. Ce sera la filière technique et un bac Mécanique. En terminale, il est enfin temps de passer ce fameux permis et son petit papier rose qui enfin va lui permettre de passer sur le siège avant gauche. Un stage de 2 semaines à pâques sur une poussive 205 D, et zou à lui la liberté ! Les études supérieures se profilent à grands pas, Nicolas se tente à passer un BTS en aprentissage, une filière qui démarrait à l'époque. Particularité de cette filière : un salaire ! modeste certes mais qui permet d'accéder à la liberté absolue : une voiture ! Et c'est avec une antique 2cv6 de 1977 qu'il fera ses premières armes. Achetée 5000F avec 77000 km celà lui permettra de rouler, rouler... Enfin rouler, en y repensant aujourd'hui, elle présentait bien des défauts inacceptables de nos jours. Il lui fallait pomper 2-3 fois sur les freins pour amorcer une quelconque décélération, le chauffage inexistant à l'arrêt, la technique de l'aspiration derrière les camions, les vitres ou les portes qui s'entrouvrent
au croisement d'un poids-lourd. Un apprentissage de la conduite que l'on ne conseillerait guère à nos enfants maintenant.
La vaillante petite Citroën l'emmènera en Vendée, en Normandie, en Ardèche, a Monaco.... Ah Monaco, Nicolas est aussi fêru de F1, rien n'est plus important pour lui que de suivre les GP à la TV ou sur France Inter comme c'était l'accoutumée à l'époque. Nicolas a réussi à perdre son année d'impôt en Ardèche au sein de la Gendarmerie plutôt que de crapahuter du côté de Baden-Baden en Allemagne. Mai 1987, il décide de profiter de 3-4 jours de permission pour aller voir le GP de Monaco. Valence-Monaco, ca signifie traverser une belle partie des Alpes en 2CV. Les montées en 2e, les senteurs d'huile chaude, puis les descentes en 3e, quelle aventure ! Il poussera même le ridicule jusqu'à faire un tour du circuit à la nuit tombante en 2cv. Après tout n'est elle pas Rouge Soleil ? Elle se mariera au ridicule près avec les gogos qui s'amusent aussi le soir avec leurs Ferrari rutilantes sur le tracé monégasque.
Mais la 2cv sera aussi le percuteur de la passion à venir. Un dimanche du côté d'Enghein les bains.... Il approche d'un feu rouge, quel est donc ce monstre là juste devant ? Il ralentit, il s'approche au maximum.... Le moteur AR semble plongé dans un aquarium. un mot à droite : BORA ! Le feu passe au vert, le monstre pousse quelques graves, et tourne à droite.... Bora ???? Nicolas est sur le cul ! Il faut en savoir plus sur cette extra-terrestre. Le trident l'a piqué, la blessure sera profonde, car 20 ans plus tard, il y pensera encore....
Après moultes documentations, il apprend sur Maserati. Il dévore tout ce qu'il trouve sur cette marque quelque peu cousine de ses amours automobiles de jeunesse.
Nicolas est certes passioné mais la vie prend le dessus. Bien sûr il travaille dans l'automobile. Chez des équipementiers principalement, pas question de quitter ce secteur. La 2cv laisse bientot place à des voitures plus ennivrantes : Ford Escort 1,6, Ford Escort RS2000, Saab 900i, Volvo 480, ... Puis il passe aux modèles plus familiaux R19, Safrane... Mais une passion bien enfouie le torture. Pourra t-il comme son père, une fois sa maison payée enfin accéder à la voiture tant désirée ?
Ce n'est qu'il y a 8 ans, que Nicolas qui a bien grandi et a maintenant quelques cheveux blancs décide de passer à l'acte. Il a suivi le lancement de bien des modèles Maserati... Il a attrappé des torticolis en croisant des Biturbo... Il faut maintenant rechercher enfin LA Maserati ! Le reste vous pouvez le deviner....
Il a cherché; Il est allé voir (son métier de nomade lui permettant de se renseigner) de nombreuses voitures; Nicolas s'était concentré sur une 224 ou une Ghibli. La Shamal était inabordable pour lui. Mais il souhaitait une facade 'shamalisée'. Après les 'maquillées', et les 'bricolées', il avait trouvé une annonce pour une 224 Ph2. La voiture semblait propre et il s'était décidé à contacter le vendeur. Un passionné assuremment qui lui annonce que sa 224 vient d'être vendue mais qu'il sera très heureux de lui montrer la voiture et son autre qu'il vient d'acquérir.... Coup de chance pour Nicolas l'adresse n'est qu'à quelques dizaines de kilomètres... Il n'est pas seul dans ce monde obscur des passionnés de Maserati ! Le vendeur est un vrai passionné qui en parle avec amour et n'hésite pas à tout lui montrer de ces voitures. Nicolas un rien frustré mais heureux de se dire que l'on peut rencontrer d'autres furieux comme lui se décide le soir même à s inscrire sur des forums; Il se renseigne, complète sa culture et enrichit des sensations...
Enfin le graal, il l'a sa Maserati !
Il finit par trouver un plaisir immense à partager. Nicolas pressent que son plaisir sera plus grand s'il fait découvrir sa voiture à d'autres passionnés, et s'il rencontre d'autres Trident tous avec leurs particularités; Aussi il décide de commencer à organiser des rencontres.
A quoi bon la passion si elle n'est pas partagée ? Ce sera révélateur, une balade en Italie à la maison mère... puis d'autres rencontres.
Le support évolue : un forum est lancé, mais la passion est intacte et même décuplée car il adore par dessus tout partager avec les autres passionnés. Il apprend à petits pas la gestion du forum, et fait de son mieux pour que la communauté des maseratistes se retrouve heureuse sur ce support et ait envie d'échanger. La communauté s'agrandit en accueillant plus de 100 membres.
Certains sont même devenus de vrais amis avec lesquels il adore par dessus tout rouler ensemble. Imaginez 10 Maserati en convoi...
Un vrai maseratitimbré ce Nicolas, et je peux dire avec une grande certitude que la piqûre du Trident sera présente encore longtemps....
Nicolas m'a confié récemment vouloir continuer son aventure Maseratiste avec une ancienne...
Laissons donc lui le temps de concrétiser ce 2e rêve... et peut-être de vous conter la suite.
ET VOUS VOTRE MASERATITUDE, ELLE A COMMENCE COMMENT ?
Relire les anciens articles : ICI
passion des Maserati.
Je n'ai pas travaillé sur l'actualité de la marque ce mois-ci car il y a pas mal de changements dans ma vie ces temps-ci.
Aussi, je vous propose un petit texte à la Maseramo dont la finalité est ce qui nous rassemble ici.
Je ne pense que ce soit si hors-sujet car finalement la devise de la marque est Excellence thru Passion.
Et comme dans ce texte il n'est question que de passion, ...
Et puis, je crois aussi que les supports sur internet contribuent aussi un petit peu à l'actualité de la marque.
Bonne lecture !
../..
Nicolas est un petit garçon comme les autres. Il va à l'école, ce n'est pas un surdoué mais son père lui a dit un jour :
- "Nicolas, j'aimerais bien qu'un jour tu sois un Monsieur"
Cette phrase est resté gravée dans sa mémoire, et il fait de son mieux pour satisfaire l'ambition que son père a pour lui. Mais Nicolas a une passion, il aime les automobiles.
Ca a sans doute commencé très tôt avec les aller-retours à Orly de nuit dans l'estafette pour aller récupérer au plus vite les livraisons de 'vivant' qui arrivent par cargo de Singapour. Au petit matin, un petit déjeuner dans le café qui jouxte le commerce familial, et il est temps de rentrer les portes coulissantes ouvertes de l'estafette ajoutant encore un brin d'exotisme à ces expéditions nocturnes.
Les trajets vers la maison de campagne les week-end sont aussi l'occasion pour Nicolas de cultiver encore ce qu'est une automobile et son fonctionnement. Il dévore le guide de la route qui consacre des pages entières au fonctionnement d'une voiture. L'Ami8 familiale n'est guère confortable mais peu importe dans ses rêves il se voit en Mustang.
A 14 ans, il commence à acheter Auto-Loisirs un magazine qui sortait dans les années 80. Il découvre dans cette revue les textes délurés et délirants de Jean-Loup Nory qui côtoient les photos extravagantes du talentueux Dingo. On y parle surtout d'américaines avec de gros V8 bourrés de chevaux qui délivrent leur dose d'adrénaline aux essayeurs. Quel magnifique métier de pouvoir conduire autant de montures différentes... La chambre commence à se couvrir de posters, comme tous les ados le font encore. De la fenêtre de sa chambre il s'amuse à reconnaitre les moteurs de voiture à leur son : Les Simca avec leurs clic clic caractéristique, les Renault, les Peugeot plus veloutés au bruit, mais surtout le bruit si typique de la DS du voisin de derrière, il changera peu après la DS pour une CX Pallas flambant neuve.
Cette voiture le fait rêver, quelles arêtes, quelle finesse... La digne héritière de ce vaisseau étrange qu'est la DS.
Sa décision est prise, il travaillera dans l'automobile et si possible chez Citroën ! Dans la librairie du coin, Nicolas est souvent en train de regarder les annonces de voiture dans La Centrale. Il voudrait tant que son père revende sa R15, et achète une CX dont Grace Jones fait la pub à la TV voire même s'il faudra se plier en 4 pour monter à l'arrière qu'il passe au monstre la SM avec son moteur italien Maserati. Le père de Nicolas avoue aussi un penchant vers la CX mais l'hydraulique envahissante le convaincra de ne pas franchir le pas. Le petit commerce commence à prendre de l'ampleur, la vie devient plus agréable, l'emprunt de la maison est enfin fini et la R15 laisse enfin place à une voiture familiale. Et quelle voiture ! Une 604 V6 ti dans sa teinte typique un bronze léger avec sa sellerie cuir fauve. Comble du luxe, elle dispose d'un toit ouvrant ! Nicolas n'est pas insensible à la sensation de puissance et d'oppulence que dégage le haut de gamme de la firme de Sochaux. Combien, de fois il la sortira du garage le samedi matin, pour pouvoir la rentrer à nouveau après les courses du samedi après midi.
Le BEPC en poche, il est temps pour Nicolas de commencer à faire des choix pour le futur. Ce sera la filière technique et un bac Mécanique. En terminale, il est enfin temps de passer ce fameux permis et son petit papier rose qui enfin va lui permettre de passer sur le siège avant gauche. Un stage de 2 semaines à pâques sur une poussive 205 D, et zou à lui la liberté ! Les études supérieures se profilent à grands pas, Nicolas se tente à passer un BTS en aprentissage, une filière qui démarrait à l'époque. Particularité de cette filière : un salaire ! modeste certes mais qui permet d'accéder à la liberté absolue : une voiture ! Et c'est avec une antique 2cv6 de 1977 qu'il fera ses premières armes. Achetée 5000F avec 77000 km celà lui permettra de rouler, rouler... Enfin rouler, en y repensant aujourd'hui, elle présentait bien des défauts inacceptables de nos jours. Il lui fallait pomper 2-3 fois sur les freins pour amorcer une quelconque décélération, le chauffage inexistant à l'arrêt, la technique de l'aspiration derrière les camions, les vitres ou les portes qui s'entrouvrent
au croisement d'un poids-lourd. Un apprentissage de la conduite que l'on ne conseillerait guère à nos enfants maintenant.
La vaillante petite Citroën l'emmènera en Vendée, en Normandie, en Ardèche, a Monaco.... Ah Monaco, Nicolas est aussi fêru de F1, rien n'est plus important pour lui que de suivre les GP à la TV ou sur France Inter comme c'était l'accoutumée à l'époque. Nicolas a réussi à perdre son année d'impôt en Ardèche au sein de la Gendarmerie plutôt que de crapahuter du côté de Baden-Baden en Allemagne. Mai 1987, il décide de profiter de 3-4 jours de permission pour aller voir le GP de Monaco. Valence-Monaco, ca signifie traverser une belle partie des Alpes en 2CV. Les montées en 2e, les senteurs d'huile chaude, puis les descentes en 3e, quelle aventure ! Il poussera même le ridicule jusqu'à faire un tour du circuit à la nuit tombante en 2cv. Après tout n'est elle pas Rouge Soleil ? Elle se mariera au ridicule près avec les gogos qui s'amusent aussi le soir avec leurs Ferrari rutilantes sur le tracé monégasque.
Mais la 2cv sera aussi le percuteur de la passion à venir. Un dimanche du côté d'Enghein les bains.... Il approche d'un feu rouge, quel est donc ce monstre là juste devant ? Il ralentit, il s'approche au maximum.... Le moteur AR semble plongé dans un aquarium. un mot à droite : BORA ! Le feu passe au vert, le monstre pousse quelques graves, et tourne à droite.... Bora ???? Nicolas est sur le cul ! Il faut en savoir plus sur cette extra-terrestre. Le trident l'a piqué, la blessure sera profonde, car 20 ans plus tard, il y pensera encore....
Après moultes documentations, il apprend sur Maserati. Il dévore tout ce qu'il trouve sur cette marque quelque peu cousine de ses amours automobiles de jeunesse.
Nicolas est certes passioné mais la vie prend le dessus. Bien sûr il travaille dans l'automobile. Chez des équipementiers principalement, pas question de quitter ce secteur. La 2cv laisse bientot place à des voitures plus ennivrantes : Ford Escort 1,6, Ford Escort RS2000, Saab 900i, Volvo 480, ... Puis il passe aux modèles plus familiaux R19, Safrane... Mais une passion bien enfouie le torture. Pourra t-il comme son père, une fois sa maison payée enfin accéder à la voiture tant désirée ?
Ce n'est qu'il y a 8 ans, que Nicolas qui a bien grandi et a maintenant quelques cheveux blancs décide de passer à l'acte. Il a suivi le lancement de bien des modèles Maserati... Il a attrappé des torticolis en croisant des Biturbo... Il faut maintenant rechercher enfin LA Maserati ! Le reste vous pouvez le deviner....
Il a cherché; Il est allé voir (son métier de nomade lui permettant de se renseigner) de nombreuses voitures; Nicolas s'était concentré sur une 224 ou une Ghibli. La Shamal était inabordable pour lui. Mais il souhaitait une facade 'shamalisée'. Après les 'maquillées', et les 'bricolées', il avait trouvé une annonce pour une 224 Ph2. La voiture semblait propre et il s'était décidé à contacter le vendeur. Un passionné assuremment qui lui annonce que sa 224 vient d'être vendue mais qu'il sera très heureux de lui montrer la voiture et son autre qu'il vient d'acquérir.... Coup de chance pour Nicolas l'adresse n'est qu'à quelques dizaines de kilomètres... Il n'est pas seul dans ce monde obscur des passionnés de Maserati ! Le vendeur est un vrai passionné qui en parle avec amour et n'hésite pas à tout lui montrer de ces voitures. Nicolas un rien frustré mais heureux de se dire que l'on peut rencontrer d'autres furieux comme lui se décide le soir même à s inscrire sur des forums; Il se renseigne, complète sa culture et enrichit des sensations...
Enfin le graal, il l'a sa Maserati !
Il finit par trouver un plaisir immense à partager. Nicolas pressent que son plaisir sera plus grand s'il fait découvrir sa voiture à d'autres passionnés, et s'il rencontre d'autres Trident tous avec leurs particularités; Aussi il décide de commencer à organiser des rencontres.
A quoi bon la passion si elle n'est pas partagée ? Ce sera révélateur, une balade en Italie à la maison mère... puis d'autres rencontres.
Le support évolue : un forum est lancé, mais la passion est intacte et même décuplée car il adore par dessus tout partager avec les autres passionnés. Il apprend à petits pas la gestion du forum, et fait de son mieux pour que la communauté des maseratistes se retrouve heureuse sur ce support et ait envie d'échanger. La communauté s'agrandit en accueillant plus de 100 membres.
Certains sont même devenus de vrais amis avec lesquels il adore par dessus tout rouler ensemble. Imaginez 10 Maserati en convoi...
Un vrai maseratitimbré ce Nicolas, et je peux dire avec une grande certitude que la piqûre du Trident sera présente encore longtemps....
Nicolas m'a confié récemment vouloir continuer son aventure Maseratiste avec une ancienne...
Laissons donc lui le temps de concrétiser ce 2e rêve... et peut-être de vous conter la suite.
ET VOUS VOTRE MASERATITUDE, ELLE A COMMENCE COMMENT ?
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