Les perles du net

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Super Kyalami transformée en décapotable !

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Toujours Maserati 4CLT, cette fois-ci dans des conditions dantesques. Ce devait être vraiment terrible pour que à l’époque on arrête la course au bout de 6 tours sur 35.

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La dernière course automobile européenne d’avant guerre eut lieu le 23 mai 1940 à Palermo alors que l’armée allemande envahissait la France et que l’Italie n’était pas encore entrée en guerre. C’était la Targa FLORIO qui s’appelait aussi cette année là Grand Prix Prince de Naples. La course fut remportée par Luigi Villoresi sur Maserati 4CL numéro 26.

Le brillant « Gigi » Villoresi, promis à une belle carrière, se la vit amputée de ses meilleures années potentielles par la guerre.

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Le pilote argentin Carlos Menditeguy en 250F :

À Rouen :

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C’est Stirling Moss sur la 250F numéro 28 qui va gagner, en tête tout au long de la course malgré les attaques incessantes de Fangio sur sa Ferrari.

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Elles partagent la même base mais c’est rare de voir la Kyalami et la Quattroporte III ensemble :

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Monterey 2025 :

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Deux MC12 côte à côte, wahou, incroyable !

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De belles Maserati à Monterey. 3500GT Spyder Vignale :

MC Pura :

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Superbe ! Un vrai chef d’œuvre intemporel de design ! Dire que la GranTurismo a 18 ans !

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Entre canapé et Karif, il a choisi Karif !

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Photo saisissante !

Fangio sur Maserati 250F à Reims-Gueux en 1958 fait l’intérieur à un concurrent (Stirling Moss sur Vanwall ou Jean Behra sur BRM ?)

Fangio terminera 4ième malgré une pédale d’embrayage cassée l’obligeant à passer les vitesses au feeling (oreille plus diminution de résistance à la pression du levier). C’est le dernier Grand Prix de Formule 1 de Fangio.

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Spa 1954, victoire de Juan Manuel Fangio sur la 250F dont c’est la première année de production :

Cette course c’est aussi le premier podium de la carrière de Stirling Moss (3ième sur aussi une 250F) :

Maurice Trintignant s’était classé second sur Ferrari.

Fangio avait signé chez Mercedes en 1954 mais la Mercedes de Formule 1 ne fut pas prête avant le mois de juin. Fangio courut ainsi le début de saison sur la toute nouvelle Maserati 250F qui venait de sortir. Ses victoires sur Maserati en Argentine et en Belgique, associées à 4 victoires supplémentaires sur Mercedes lui assurèrent un second titre de champion du monde de Formule 1 en 1954 après son premier titre sur Alfa Romeo en 1951.