Re: Decalaminage moteur
Publié : ven. 13 juin 2014 17:07
J'ai regardé le site de Keiper consulting sur KeiperTech. J'avoue ne pas avoir compris où est l'innovation à part la mise en oeuvre d'un procédé de catalyse de l'eau dans leur machine. Aucun brevet n'est en référence par contre on a des phrases du genre "Today, we continue to develop products to meet the ever changing needs of a fast paced modern society" qui fait que l'on arrête la lecture.
J'avais failli arrêter lorsqu'il était dit qu'il y avait une différence de puissance de 20% entre un moteur propre et un moteur sale sans qu'aucune explication ne soit donnée sur cette différence importante, d'autant qu'il est possible d'être sale et très performant
Ce qu'on sait c'est que la vapeur d'eau est un gaz qui a la faculté de pénétrer facilement beaucoup de matériaux, peut être la calamine, de se condenser à la température et pression ambiante et que cela permet les décollages autres nettoyages de crasses. On sait aussi que lorsque la pression augmente il pleut moins sauf quand la température augmente et inversement. Quant à savoir ce qui se passe dans une chambre de combustion d'un moteur tournant au ralenti, c'est à dire après l'admission des gaz, y compris la vapeur d'eau ou l'"hydrogen-oxugène", à 0,5 bar et 80° par exemple
J'avais failli arrêter lorsqu'il était dit qu'il y avait une différence de puissance de 20% entre un moteur propre et un moteur sale sans qu'aucune explication ne soit donnée sur cette différence importante, d'autant qu'il est possible d'être sale et très performant

Ce qu'on sait c'est que la vapeur d'eau est un gaz qui a la faculté de pénétrer facilement beaucoup de matériaux, peut être la calamine, de se condenser à la température et pression ambiante et que cela permet les décollages autres nettoyages de crasses. On sait aussi que lorsque la pression augmente il pleut moins sauf quand la température augmente et inversement. Quant à savoir ce qui se passe dans une chambre de combustion d'un moteur tournant au ralenti, c'est à dire après l'admission des gaz, y compris la vapeur d'eau ou l'"hydrogen-oxugène", à 0,5 bar et 80° par exemple
