il faut savoir que l'outillage pour le débosselage coute généralement très cher. Le travail pour un pavillon nécessite justement du spécifique qui n'est pas donné. La grande difficulté c'est de travailler en arrivant à voir ce qu'on fait. Il faut donc un système de perche et d'accroche qu'utilisent les débosseleurs dans ces cas. Pour la peinture complète, il n'y avait pas d'alternative dans tous les cas, même si de loin la voiture faisait illusion.Joris a écrit :Ce n'est pas la première fois qu'il s'essaie à la carrosserie.
Le but de sa chaîne c'est qu'il fasse tout lui même.
Donc au début il y a des erreurs, mais avec l'expérience c'est de mieux en mieux
Par contre Hedi, ça n'aurais pas été plus simple de prendre des cours de debosselage sans peinture ? Car en vidéo, j'ai l'impression que la grande majorité pouvait être debosselé sans toute cette énorme préparation. Et aussi éviter une peinture complète.
Après c'est en vidéo, je ne me rend pas bien compte.
En tout cas bravo !
je n'ai jamais vu le système mis en œuvre irl mais je serais curieux de voir ce que ça donnealpa a écrit :Je n'ai jamais essaye (je le ferai) mais en principe on peut débosseler a l'induction sans abimer la peinture. C'est de toute facon tres utile comme machine pour devisser l'indevissable, et ca ne coute pas une fortune sur Aliexpress.
la corrosion, c'est un sujet complexe... A mon sens il faut toujours essayer d'aller retirer toutes les zones noircies jusqu'à arriver à la tôle saine. Pour jauger de la profondeur, quand on connait celle d'origine (souvent dans les 0.8mm), on arrive visuellement à savoir quand il ne reste plus grand chose. A ce compte là, il est plus sage de rajouter de la matière si on le peut.Froggie a écrit :La voilà:
https://www.youtube.com/watch?v=36LiFmY656I
Hedi, pense à mettre le lien des nouvelles videos ici stp!
Encore une vidéo bien intéressante.
Et beau travail, même s'il y a ces reprises à faire. Comme quoi la peinture c'est un métier et des coups de main à acquérir.
Question de non expert: à partir de quel niveau estimes-tu que la corrosion doit être traitée par ponçage jusqu'au métal puis rechargement par soudage?
Je vois en effet que certaines des zones de ta gorge de parebrise sous les agrafes n'ont pas l'air si profondément attaquées.
Serait-il possible éventuellement de les traiter seulement avec un bon convertisseur de rouille style ferose avant primer et peinture?
Ca pourrait être intéressant notamment pour des zones encores plus inaccessibles...
Sous la ouature, parfois...Konimino2 a écrit :On attend la suite.
Quand dort il?
Bravo Heidi ou plutôt Stalje icistalje a écrit :la corrosion, c'est un sujet complexe... A mon sens il faut toujours essayer d'aller retirer toutes les zones noircies jusqu'à arriver à la tôle saine. Pour jauger de la profondeur, quand on connait celle d'origine (souvent dans les 0.8mm), on arrive visuellement à savoir quand il ne reste plus grand chose. A ce compte là, il est plus sage de rajouter de la matière si on le peut.Froggie a écrit :La voilà:
https://www.youtube.com/watch?v=36LiFmY656I
Hedi, pense à mettre le lien des nouvelles videos ici stp!
Encore une vidéo bien intéressante.
Et beau travail, même s'il y a ces reprises à faire. Comme quoi la peinture c'est un métier et des coups de main à acquérir.
Question de non expert: à partir de quel niveau estimes-tu que la corrosion doit être traitée par ponçage jusqu'au métal puis rechargement par soudage?
Je vois en effet que certaines des zones de ta gorge de parebrise sous les agrafes n'ont pas l'air si profondément attaquées.
Serait-il possible éventuellement de les traiter seulement avec un bon convertisseur de rouille style ferose avant primer et peinture?
Ca pourrait être intéressant notamment pour des zones encores plus inaccessibles...
Donc au final : meulage, stabilisateur de rouille, protection anti-rouille puis le recouvrement classique. L'avenir dira si c'est suffisant.
J'en profite pour poser deux photos d'après le chantier :p
