Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi

[Gun]

Guerino et la squadra corse 1957 :

[maseramo]

Merci Didier pour cette photo qui enrichit l'énorme photothèque de Guerino Bertocchi que nous avons sur Maseratitude

[Blu Sera]

Guerino Bertocchi à l'usine, avec notamment Jean Behra (tout à gauche) :

[maseramo]

Grazie Blu, Guerino était écouté attentivement par tous. Le patron de Maserati Omer Orsi est à droite à côté de Guerino.

[Blu Sera]

Merci pour cette précision Maseramo ! Et Philippe me glisse que l'homme aux lunettes noires n'est autre que Cesare Perdisa, qui pilota la 250F pour l'Officine Alfieri Maserati entre 1955 et 1956. Son père éditait à l'époque la célèbre revue Quattroruote.

On le retrouve ici à Monaco, en compagnie de Giulio Alfieri, Stirling Moss, et Guerino Bertocchi

[Blu Sera]

Et c'est Guerino Bertocchi qui pose à côté de Perdisa sur la couverture de cet ouvrage qui lui est consacré

[Blu Sera]

Les pilotes savaient qu'ils pouvaient s'appuyer sur Guerino Bertocchi, et pas seulement pour sortir de la 250F

[Blu Sera]

1958, GP de France à Reims. Encore un beau témoignage de la complicité entre Fangio et Bertocchi

[maseramo]

Merci Blu Sera , cette complicité Fangio-Bertocchi a largement contribué à la conquête du titre de champion du monde 1957 de Formule 1 .

[Blu Sera]

Une photo terrible, prise juste après l'accident fatal de Marimon aux qualifications du GP d'Allemagne 1954 sur le Nurburgring :



Guerino Bertocchi semble perdu dans ses pensées, entre un Giulio Alfieri prostré et un Gonzales (compatriote et illustre adversaire de Fangio) semblant invoquer un Dieu peu complaisant pour les pilotes en ces temps périlleux ...

[maseramo]

C'est dur de voir une 250 F fracassée dans laquelle est mort un homme (à moins que Marimon ait été éjecté car les pilotes n'étaient pas attachés à l'époque).

Grazie Blu pour avoir publié cette photo, ce qui n'était pas évident et témoigne d'une vraie exigence d'historien.
On ne peut rendre compte fidèlement de cette époque ( ce que l'on fait dans ces post historiques de Maseratitude) sans évoquer la mort en course. La mort faisait partie des règles et les pilotes l'acceptait et la côtoyait. Ils ne se disaient jamais :"on en parlera après la course", c'était trop incertain.
Dans un sens, l'éventualité de la mort permettait de mesurer leur passion : démesurée, au delà de tout, primant sur tout ... ou il fallait arrêter de courir.

Ce qu'ils voulaient, tous ces épris de la course, c'était vivre leur passion, même si il fallait vivre peu, et ils acceptaient cette éventualité.

Honneur à leur mémoire, leur bravoure, leur courage.

[Blu Sera]

Guerino Bertocchi et ses mecanicci ont fait en 2010 la 1ère page du magazine du club Maserati Allemagne


(source : Philippe)

[Blu Sera]

Monaco 1958. Le chant du cygne pour la 250F, rattrapée par la concurrence. Et Guerino Bertocchi, pensif devant une BRM :

[Blu Sera]

Jean Behra offre à Guerino Bertocchi un tour de piste sur l'Autodromo di Modena

[maseramo]

Génial ! On n'arrête plus Blu Sera : 275 ème photo de Guerino Bertocchi sur ce post ! C'est la plus grande collection de photos de Guerino Bertocchi jamais réunie !

[Blu Sera]

Cuba, 1957. Guerino Bertocchi s'entretient avec Fangio (qui gagnera le GP sur 300S), et c'est le jeune Alessandro De Tomaso en Polo jaune (concurrent sur 150S) qui tente de se frayer un passage derrière Guerino

[maseramo]

Super photo réunissant trois grands personnages du maseratisme ! Grazie mille amico Blu !

[ciscoauto]

En effet , sacré photo !

[bay]

Maserati 250 F1 à Francorchamps

[Blu Sera]

1956, 1000km du Nurburgring, Guerino Bertocchi savoure la victoire de la Maserati 300S pilotée par Taruffi, Behra, Schell et Moss