La V4
- maseramo
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La V4
Maserati V4 : un exemplaire unique construit en 1929
C’est en 1929 que Maserati passa la vitesse supérieure en sortant l’auto qui allait propulser la firme des places d’honneur aux vraies victoires en Grand Prix. Il s’agit DU bolide absolu de son époque : la V 4, avec V pour la disposition des 16 cylindres en V très étroit (25°) associant deux moteurs 8 cylindres en ligne de 26 B de 2 litres, d’où le 4 pour 4 litres. Autrement dit, un véritable « monstre » pour l’époque mais intelligent et « raisonnable » financièrement car utilisant beaucoup de pièces de la 26 B. Ce moteur fabuleux, « bi-supercharged », possédait un compresseur Roots et un carburateur Weber DO par rangée de 8 cylindres. Edoardo Weber s’était déplacé personnellement à l’usine Maserati où il était resté 2 semaines, construisant une pièce spéciale et originale pour la carburation de ce moteur monumental. Avec un taux de compression de 5.5 : 1, il développait la « bagatelle » de 304 cv à 5500 tr/mn. En fait, il ne s’agissait pas d’un vrai moteur en V mais plutôt en U, chaque banc de cylindres conservant son propre vilebrequin. Des engrenages liaient les deux vilebrequins au centre. Cette solution évitait la création onéreuse d’un nouveau vilebrequin central.
Ici chez Candini, on voit bien la cascade d’engrenages entraînant les 4 arbres à cames en tête avec les soupapes à 90 degrés. Le moteur V4 est en fait la juxtaposition en parallèle de deux moteurs 8 cylindres en ligne de Maserati 26 B. C’est beau cet aluminium brossé !
Le moteur de la V4 lors d’une réfection chez Candini à Modène. De la gauche à la droite, Giuseppe Candini, son fils Marcello et Juan Manuel Fangio. Avant de monter son garage à Modène, Giuseppe Candini fut mécanicien de formule 1 et particulièrement affecté, excusez du peu, à la 250 F de Stirling Moss en 1956 et à celle de Fangio champion du monde en 1957 !
Ce colosse mécanique est l’exemplaire unique d’un des moteurs les plus puissants de toute la production mondiale de l’époque. Vu depuis l’avant, on note les deux compresseurs Roots
Vu depuis l’arrière, le « fauve » est impressionnant avec ses quatre arbres à cames dont les deux centraux se touchent presque tant le U était étroit pour faire entrer les deux 8 cylindres en ligne en parallèle dans la carrosserie.
Le « monstre » fut accouplé à une boîte 4 vitesses plus « retromarcia » et l’ensemble trouva place dans un châssis Tipo 26 à peine allongé. La carrosserie en aluminium signée Fantuzi parachevait ce chef-d’œuvre dont le poids restait très contenu à 1050 kg.
Les freins à tambour restaient à commande mécanique et tentaient de ralentir ce projectile engloutissant 50 litres aux 100 kms et dévorant les minces pneus de l’époque.
C’est en 1929 que Maserati passa la vitesse supérieure en sortant l’auto qui allait propulser la firme des places d’honneur aux vraies victoires en Grand Prix. Il s’agit DU bolide absolu de son époque : la V 4, avec V pour la disposition des 16 cylindres en V très étroit (25°) associant deux moteurs 8 cylindres en ligne de 26 B de 2 litres, d’où le 4 pour 4 litres. Autrement dit, un véritable « monstre » pour l’époque mais intelligent et « raisonnable » financièrement car utilisant beaucoup de pièces de la 26 B. Ce moteur fabuleux, « bi-supercharged », possédait un compresseur Roots et un carburateur Weber DO par rangée de 8 cylindres. Edoardo Weber s’était déplacé personnellement à l’usine Maserati où il était resté 2 semaines, construisant une pièce spéciale et originale pour la carburation de ce moteur monumental. Avec un taux de compression de 5.5 : 1, il développait la « bagatelle » de 304 cv à 5500 tr/mn. En fait, il ne s’agissait pas d’un vrai moteur en V mais plutôt en U, chaque banc de cylindres conservant son propre vilebrequin. Des engrenages liaient les deux vilebrequins au centre. Cette solution évitait la création onéreuse d’un nouveau vilebrequin central.
Ici chez Candini, on voit bien la cascade d’engrenages entraînant les 4 arbres à cames en tête avec les soupapes à 90 degrés. Le moteur V4 est en fait la juxtaposition en parallèle de deux moteurs 8 cylindres en ligne de Maserati 26 B. C’est beau cet aluminium brossé !
Le moteur de la V4 lors d’une réfection chez Candini à Modène. De la gauche à la droite, Giuseppe Candini, son fils Marcello et Juan Manuel Fangio. Avant de monter son garage à Modène, Giuseppe Candini fut mécanicien de formule 1 et particulièrement affecté, excusez du peu, à la 250 F de Stirling Moss en 1956 et à celle de Fangio champion du monde en 1957 !
Ce colosse mécanique est l’exemplaire unique d’un des moteurs les plus puissants de toute la production mondiale de l’époque. Vu depuis l’avant, on note les deux compresseurs Roots
Vu depuis l’arrière, le « fauve » est impressionnant avec ses quatre arbres à cames dont les deux centraux se touchent presque tant le U était étroit pour faire entrer les deux 8 cylindres en ligne en parallèle dans la carrosserie.
Le « monstre » fut accouplé à une boîte 4 vitesses plus « retromarcia » et l’ensemble trouva place dans un châssis Tipo 26 à peine allongé. La carrosserie en aluminium signée Fantuzi parachevait ce chef-d’œuvre dont le poids restait très contenu à 1050 kg.
Les freins à tambour restaient à commande mécanique et tentaient de ralentir ce projectile engloutissant 50 litres aux 100 kms et dévorant les minces pneus de l’époque.
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Re: La V4
Après une préparation minutieuse, la V 4 débuta en compétition au Grand Prix de Monza le 15 septembre 1929 avec Alfieri Maserati en personne au volant. En course, le courageux Alfieri pulvérisa le record du circuit avec 198.7 km/h de moyenne sur un tour (ce record tint bon jusqu’en 1954 !!!) mais l’auto dut abandonner.
Baconin Borzacchini au volant de la V4
Deux semaines plus tard, le 28 septembre 1929 à Crémone, ville des violons « Stradivarius » et « Guarneri », c’est le chant du U 16 qui retentit. Baconin Borzachini conduisit la V 4 à ses limites et battit le record de vitesse moyenne sur 10 kms avec 246.069 km/h. Cet évènement connut une diffusion mondiale et on parla dans la presse américaine, à propos de la Maserati V 4, de « fastest car in the world at the time ». Il est vrai qu’avec une vitesse de pointe chronométrée à 249 km/h, la V 4 était quasiment intouchable sur ce plan et la première victoire de Maserati en Grand Prix n’allait pas tarder à venir. C’est à nouveau Borzacchini qui l’offrit à l’Officina en remportant, avec le même unique exemplaire V 4, le très célèbre Grand Prix de Tripoli 1930. Cette même auto s’adjugea de belles places d’honneur durant la saison 1930 avec Ettore Maserati ou Luigi Arcangeli à son volant.
Grâce notamment à la V 4 et à son record de vitesse, tout le monde connaissait au début des années 30 le nom de Maserati, jusqu’en Amérique. Cette V 4, engagée en course par l’usine et donc non vendue, avait représenté à elle seule une campagne publicitaire à l’échelle mondiale et engendrait la vente des Maserati 26 (1.5 litres 8 cylindres en ligne), 26 B (2 litres 8 cylindres en ligne) et dérivés aux gentlemen drivers. Ainsi, malgré la crise économique de 29, la croissance de l’industrie Maserati se poursuivit, mais peut-être aurait-elle été encore supérieure en période économiquement favorable.
A la fin 1931, la Maserati V 5 (même architecture moteur que la V4 mais poussée à 5 litres) remplaça l’unique exemplaire de la V 4, cette dernière ayant été recarrossée « sport » par Ugo Zagato et vendue à Ricardo Galeazzi de Rome. Elle fut ainsi probablement la première Maserati « stradale » ! (Il s’agit bien du même châssis et non pas d’un second exemplaire comme on peut le lire parfois)
La transformation par Zagato
Baconin Borzacchini au volant de la V4
Deux semaines plus tard, le 28 septembre 1929 à Crémone, ville des violons « Stradivarius » et « Guarneri », c’est le chant du U 16 qui retentit. Baconin Borzachini conduisit la V 4 à ses limites et battit le record de vitesse moyenne sur 10 kms avec 246.069 km/h. Cet évènement connut une diffusion mondiale et on parla dans la presse américaine, à propos de la Maserati V 4, de « fastest car in the world at the time ». Il est vrai qu’avec une vitesse de pointe chronométrée à 249 km/h, la V 4 était quasiment intouchable sur ce plan et la première victoire de Maserati en Grand Prix n’allait pas tarder à venir. C’est à nouveau Borzacchini qui l’offrit à l’Officina en remportant, avec le même unique exemplaire V 4, le très célèbre Grand Prix de Tripoli 1930. Cette même auto s’adjugea de belles places d’honneur durant la saison 1930 avec Ettore Maserati ou Luigi Arcangeli à son volant.
Grâce notamment à la V 4 et à son record de vitesse, tout le monde connaissait au début des années 30 le nom de Maserati, jusqu’en Amérique. Cette V 4, engagée en course par l’usine et donc non vendue, avait représenté à elle seule une campagne publicitaire à l’échelle mondiale et engendrait la vente des Maserati 26 (1.5 litres 8 cylindres en ligne), 26 B (2 litres 8 cylindres en ligne) et dérivés aux gentlemen drivers. Ainsi, malgré la crise économique de 29, la croissance de l’industrie Maserati se poursuivit, mais peut-être aurait-elle été encore supérieure en période économiquement favorable.
A la fin 1931, la Maserati V 5 (même architecture moteur que la V4 mais poussée à 5 litres) remplaça l’unique exemplaire de la V 4, cette dernière ayant été recarrossée « sport » par Ugo Zagato et vendue à Ricardo Galeazzi de Rome. Elle fut ainsi probablement la première Maserati « stradale » ! (Il s’agit bien du même châssis et non pas d’un second exemplaire comme on peut le lire parfois)
La transformation par Zagato
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Re: La V4
Cette voiture unique existe toujours et, même si la couleur surprend au premier abord, l'auto brille dans moult concours d’élégance, à Peable Beach notamment.
Elle garde toujours son immatriculation Roma !
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Re: La V4
Ici à Indianapolis en compagnie de la 8 CLF « Boyle » qui remporta les 500 milles en 1939 et 1940 (Wilbur Shaw) et de la brillante 26 M (2.5 litres 8 cylindres en ligne) qui remporta de nombreuses victoires en 1930 et 1931 notamment les grands prix de Monza 1930 (Achille Varzi) et 1931 (Luigi Fagioli)
Quand on pense que sur cette V4 originelle se sont affairées les mains des frères Maserati, de Eduardo Weber et de Ugo Zagato !
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Re: La V4
La voiture que je vais vous présenter maintenant (et dont une photo inaugure ce reportage) est une reconstruction de la V4 mais attention, au plus proche de ce qu’elle était en 1929. Ce travail colossal (20 000 heures) a été réalisé par un passionné maniaco-obsessionnel proche de la folie (ou du génie) du nom d’Anthony Heartley qui utilisa, comme l’avaient d’ailleurs fait les frères Maserati, de nombreuses pièces de 26 B d’époque. Tout a été assemblé ou reconstruit à l’identique avec les méthodes de l’époque. Seules exceptions : la commande des freins avant à tambour se fait par tube hydraulique et non mécaniquement comme sur la V4 originelle, et il y a un mini silencieux sur les échappements latéraux. La couleur de peinture est celle d’époque et, en regardant cette V4 reconstruite (vendue 540 000 dollars ou euros ( ?) en 2012), on a une fidèle idée de la V4 de course de 1929.
C'est parti pour un grand frisson historique :
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Re: La V4
Il fallait un fuselage large pour abriter les 2 moteurs 8 cylindres en ligne côte à côte. La manivelle entraîne le vilebrequin de gauche !
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Re: La V4
On ne voit pas de 16 cylindres tous les jours !
Merci à Anthony Heartley de nous faire remonter le temps !
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Re: La V4
Merci maseramo de nous faire partager tout ça.
Tes reportages sont super
Fred
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Les allemands font des voitures avec leur tête, les italiens avec leur cœur ...
Shamal ex 3200GT ex Gransport ex MC STRADALE
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Re: La V4
Je reste sans voix!
Un piéton est un monsieur qui va chercher sa voiture. (Frédéric Dard)
Actuelles : Shamal (1991)
Ex: Biturbo 422 (1991) - Coupé 4200 GT CC (2003) - Biturbo 222 4v (1994) - Biturbo Spyder III 2.8L (1994)
EMAIL: barth@maseratitude.com
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Re: La V4
TIPO V4
Année 1929/30
Moteur avant 16 cylindres en V 35°
Cylindrée 3961
Taux de compression 5,5:1
Puissance 280/305CV à 5500 t/mn
Distribution 2 arbres a cames en tête , 2 soupapes en tête par cylindre
Alimentation forcée par 2 compresseur type Roots
Allumage simple avec 2 magnétos
Lubrification forcée par pompe de refoulement et de récupération
Transmission roues arrières motrices
Embrayage multidisques à sec
Boite de vitesses avant 4 vitesses + MA
Châssis longerons et traverses en profil d'acier
Suspension avant a ressorts à lames et amortisseurs à friction; arr/ essieu rigide ressorts à lames longitudinaux et amortisseurs à friction Freins mécaniques à tambour
Empattement avant et arrière mm 2670-1350-/1300
Pneumatiques 3,25 x 19 - 6,50 x 19
Vitesses 250 km/h
Exemplaires produits 2
Voilà
Année 1929/30
Moteur avant 16 cylindres en V 35°
Cylindrée 3961
Taux de compression 5,5:1
Puissance 280/305CV à 5500 t/mn
Distribution 2 arbres a cames en tête , 2 soupapes en tête par cylindre
Alimentation forcée par 2 compresseur type Roots
Allumage simple avec 2 magnétos
Lubrification forcée par pompe de refoulement et de récupération
Transmission roues arrières motrices
Embrayage multidisques à sec
Boite de vitesses avant 4 vitesses + MA
Châssis longerons et traverses en profil d'acier
Suspension avant a ressorts à lames et amortisseurs à friction; arr/ essieu rigide ressorts à lames longitudinaux et amortisseurs à friction Freins mécaniques à tambour
Empattement avant et arrière mm 2670-1350-/1300
Pneumatiques 3,25 x 19 - 6,50 x 19
Vitesses 250 km/h
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Re: La V4
Merci les gars pour vos encouragements mais attention, ça va m'inciter à récidiver !
Supers et précises fiches signalitiques JP ! Merci
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Re: La V4
La V4 Zagato verte actuelle est bien la reconvertion de la première V4 construite, celle du record de vitesse de Borzacchini. Un second châssis a été construit en 1931 mais presque immédiatement converti en V5 de course avec son moteur 16 cylindres de 5 litres (associant 2 moteurs de 26 M de 2.5 litres chacun, comme la V4 associait 2 moteurs de 26 B de 2 litres chacun).
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Re: La V4
Rien à faire, alors que l'angle de vue est quasiment le même, mon esprit n'arrive pas à accepter qu'il s'agit de la même voiture.
Merci Maseramo de nous faire découvrir toutes ces beautés.
“What this button does is it turns carbon dioxide into noise.” J Clarkson
Biturbo SI - Shamal - Ghibli Cup 2800 - 3200GT AC - MC Victory
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Re: La V4
Merci Gemini pour tes encouragements. "e pero è la stessa !", c'est pourtant bien la même, ce qui en fait une voiture culte. C'est vrai que cette couleur vert fluo du fuselage choque. On sait que la V4 de course portait le rouge sombre des voitures de course italiennes de ces années mais je ne sais pas qu'elle était la couleur originelle de l'adaptation "stradale" de Zagato.
"quando turbo spira ...", Dante Alighieri dans "La Divina Commedia"
Re: La V4
Tout à fait d’accord , la verte fait plus courte et moins agressive , effet d’optique? 16 cylindres en U, truc de malade mental
- plm
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Re: La V4
Elle était à Chantilly arts et élégance en septembre 2014, première édition, avec une flopée de Maserati uniques pour le centenaire,
dont pas mal de la collection Panini:
Simun, Boomerang, tipo 124, Mexico Frua, A6 GCS berlinetta....
Je suis passé complètement à coté, pas de photo (peut être vidéo, pas vérifié), je n'y connaissais rien en Masettes de course.
Et je ne savais pas que j'allais devenir maseratiste un peu plus d'un an après (achat de la Spyder en décembre 2015).
dont pas mal de la collection Panini:
Simun, Boomerang, tipo 124, Mexico Frua, A6 GCS berlinetta....
Je suis passé complètement à coté, pas de photo (peut être vidéo, pas vérifié), je n'y connaissais rien en Masettes de course.
Et je ne savais pas que j'allais devenir maseratiste un peu plus d'un an après (achat de la Spyder en décembre 2015).