Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Il semble qu'il n'y ait eu que deux 250 F V12 :
2523 qui fut remotorisée avec un 6 en ligne en 1958 mais qui, je crois, retrouva un V12 par la suite
2530 qui resterait la seule 250FV12 avec son moteur d'origine et se trouve au miraculeux musée Panini à Modène !
Probablement, c'est celle de la photo de Syracuse mais avec un capot différent !
2523 qui fut remotorisée avec un 6 en ligne en 1958 mais qui, je crois, retrouva un V12 par la suite
2530 qui resterait la seule 250FV12 avec son moteur d'origine et se trouve au miraculeux musée Panini à Modène !
Probablement, c'est celle de la photo de Syracuse mais avec un capot différent !
"quando turbo spira ...", Dante Alighieri dans "La Divina Commedia"
- maseramo
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
"quando turbo spira ...", Dante Alighieri dans "La Divina Commedia"
Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Merci Maseramo et Blu Sera pour ses magnifiques photos qui m'ont fait vivre une période exceptionnelle, grâce à des hommes exceptionnelles.
Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
- maseramo
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Whaouuuuuuuuu ! Belle brochette ! (à 10 - 15 millions d'euros pièce actuellement !). Fangio était déjà sacré champion du monde de Formule 1 depuis le Nurburgring au mois d’Août mais il termina tout de même second à Monza 1957
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Magnifiques photos
Quelle époque!!!!!
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- maseramo
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Ah oui, ça c'est beau et grand ! Ces barquettes S Maserati étaient ce qui se faisait de mieux à l'époque !
On voit la différence entre les 300 S (la 12, la 14) et les 200 S/250 S (la 32, la 30 au fond) avec leur museau plus avancé et leur phares plus fins et plus haut situés. Grazie Blu, et Guerino est toujours là bien sûr, en chef mécanicien de toutes ces merveilles !
On voit la différence entre les 300 S (la 12, la 14) et les 200 S/250 S (la 32, la 30 au fond) avec leur museau plus avancé et leur phares plus fins et plus haut situés. Grazie Blu, et Guerino est toujours là bien sûr, en chef mécanicien de toutes ces merveilles !
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Même en plein été, la source d'images de Blu Sera n'est pas tarie ! Chouette, nous on a soif de ces photos d'époque, souvent prises en pleine action, sans que les protagonistes prennent la pose. Des témoignages précieux et des voitures extraordinaires. Grazie Blu !
"quando turbo spira ...", Dante Alighieri dans "La Divina Commedia"
Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Merci Maseramo ! Nous retrouvons Guerino Bertocchi, en discussion avec Jean Behra devant une 450 S :
Nous sommes à Monza, en 1957, pour la "Course des deux Mondes" : les 500 Miglia di Monza ou Monzanapolis. Une épreuve imaginée pour opposer les meilleures productions européennes de l'époque (Maserati, Ferrari, Jaguar) aux Indycars américaines. Ce concept marketing avant-gardiste ne fera pas long feu, et s'éteindra après 2 éditions (1957 et 1958), faute d'intérêts des constructeurs. Jean Behra ne prendra finalement pas le départ, faute à un problème de transmission.
Nous sommes à Monza, en 1957, pour la "Course des deux Mondes" : les 500 Miglia di Monza ou Monzanapolis. Une épreuve imaginée pour opposer les meilleures productions européennes de l'époque (Maserati, Ferrari, Jaguar) aux Indycars américaines. Ce concept marketing avant-gardiste ne fera pas long feu, et s'éteindra après 2 éditions (1957 et 1958), faute d'intérêts des constructeurs. Jean Behra ne prendra finalement pas le départ, faute à un problème de transmission.
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Intéressant : je ne savais pas que Maserati avait envisagé une participation usine en 1957 avec Jean Behra sur une 450 S.
En 1958, ce sera l'Eldorado (moteur de 450 S ramené à 4.2 litres dans un châssis renforcé de 250 F) avec Stirling Moss au volant. Mais le boîtier de direction se brisa au 2/3 de la course, probablement du fait des énormes contraintes mécaniques en virage relevé, entraînant un accident à plus de 260 km/h dont le pilote sortit heureusement indemne.
Stirling Moss et son mythique casque blanc au volant de l'Eldorado à Monza sur la "curva alta velocità" en sens pour une fois anti-horaire (comme à Indianapolis). Cette Eldorado pouvait atteindre les 370 km/h !!!
Une photo déjà présentée par l'excellent Blu Sera page 15 de ce topic :
Guerino Bertocchi est à droite de Stirling Moss, son frère Gino probablement à gauche du pilote avec "Eldorado" écrit dans le dos
En 1958, ce sera l'Eldorado (moteur de 450 S ramené à 4.2 litres dans un châssis renforcé de 250 F) avec Stirling Moss au volant. Mais le boîtier de direction se brisa au 2/3 de la course, probablement du fait des énormes contraintes mécaniques en virage relevé, entraînant un accident à plus de 260 km/h dont le pilote sortit heureusement indemne.
Stirling Moss et son mythique casque blanc au volant de l'Eldorado à Monza sur la "curva alta velocità" en sens pour une fois anti-horaire (comme à Indianapolis). Cette Eldorado pouvait atteindre les 370 km/h !!!
Une photo déjà présentée par l'excellent Blu Sera page 15 de ce topic :
Guerino Bertocchi est à droite de Stirling Moss, son frère Gino probablement à gauche du pilote avec "Eldorado" écrit dans le dos
"quando turbo spira ...", Dante Alighieri dans "La Divina Commedia"
- maseramo
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Re: Les hommes de Maserati : Guerino Bertocchi
Merci blu pour ces photos magnifiques et rarissimes où l'on voit bien la proximité de Guerino Bertocchi avec les pilotes. Il savait de quoi il parlait, Guerino, car il avait assuré les premiers roulages, réglages et rodage de l'Eldorado et aussi de toutes les 250 F auparavant. Il était lui-même un bon pilote et tournait à Monza quasiment dans les mêmes temps que Stirling Moss !
Dire qu'on a vu (et touché) cette Eldorado unique et inestimable au miraculeux musée Panini, rempli de merveilles !
Très probablement Giulio Borsari (un bon mécanicien de l'équipe Maserati de l'époque) avec la casquette blanche et "Eldorado" dans le dos.
Dire qu'on a vu (et touché) cette Eldorado unique et inestimable au miraculeux musée Panini, rempli de merveilles !
Très probablement Giulio Borsari (un bon mécanicien de l'équipe Maserati de l'époque) avec la casquette blanche et "Eldorado" dans le dos.
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